Ils n’ont aucune autre utilité que d’apprendre à mieux connaître leurs auteurs, ce qui au final s’avère un minimum utile pour un site n’ayant, comme le nôtre, que neuf mois d’existence. Voici donc tops et autres flops retraçant l’année de chacun d’entre nous, avec en bonus les films les plus attendus de celle à venir.

GUILLAUME GAS

LE MEILLEUR DE 2011

1/ The Tree of Life, de Terrence Malick : Parce que ce film contient tout ce qui rend le cinéma plus beau que la vie.
2/ Melancholia, de Lars Von Trier : Parce que la fin du monde n’a jamais été aussi belle sur un écran de cinéma.
3/ Drive, de Nicolas Winding Refn : Parce que c’est la redéfinition parfaite d’un genre ultra-codé par un cinéaste définitivement majeur.
4/ Balada Triste, d’Alex de la Iglesia : Parce qu’il s’agit d’une œuvre malade et hallucinante qui fait passer son spectateur par tous les états possibles.
5/ The Artist, de Michel Hazanavicius : Parce que le muet permet à la mise en scène de reprendre l’avantage sur tout le reste.
6/ Shame, de Steve McQueen : Parce qu’il y a trop peu de films qui savent aussi bien capter ce qu’est devenu le monde contemporain.
7/ La piel que habito, de Pedro Almodovar : Parce que Pedro signe ici son meilleur film, doublé d’une œuvre-somme qui concentre toute sa filmographie.
8/ Carnage, de Roman Polanski : Parce que quand Polanski joue les sales gosses cyniques, c’est toujours là qu’il est le plus fort.
9/ J’ai rencontré le diable, de Kim Jee-woon : Parce qu’en matière de vengeance et d’ultra-violence, le cinéma sud-coréen n’en finit plus de casser des briques.
10/ Les nuits rouges du Bourreau de Jade, de Julien Carbon & Laurent Courtiaud : Parce qu’on tient là une proposition de cinéma unique en son genre, qui sait combiner le sadisme et la jouissance dans un même plan.

LE PIRE DE 2011

1/ Les Tuche, d’Olivier Baroux : Parce que réussir à me donner envie de retapisser la salle de cinéma avec ma gerbe, ça ne m’était encore jamais arrivé.
2/ La Croisière, de Pascale Pouzadoux : Parce que placer un hospice de vieux sur un paquebot de luxe, c’était vraiment une idée de comédie à la con.
3/ Giallo, de Dario Argento : Parce qu’Argento était déjà au fond du trou depuis trois films, et que maintenant, il continue de creuser…
4/ Justin Bieber : Never Say Never, de Jon Chu : Parce que si le film est un tout petit pas pour le cinéma, c’est surtout un pas de géant pour l’infanticide !
5/ Propriété interdite, d’Hélène Angel : Parce que ça veut être aussi fort que du Polanski, alors que c’est mal fichu et aussi creux qu’un puits sans fond.
6/ Un baiser papillon, de Karine Silla-Perez : Parce que Danièle Thompson n’aurait même pas osé aller aussi loin dans le film choral pour bobos, consensuel et pleurnichard.
7/ La locataire, d’Antti Jokinen : Parce que je me suis emmerdé, et parce qu’en remplaçant « La » par « Le », on obtient un chef-d’œuvre.
8/ Sucker Punch, de Zack Snyder : Parce qu’il n’y a plus rien à attendre du prochain Zack Snyder, si ce n’est un Superman qui vole au ralenti dans un style visuel des plus agressifs.
9/ L’assaut, de Julien Leclercq : Parce que je suis sorti de la salle avec une migraine que même Michael Bay n’aurait pas su me refiler.
10/ Apollo 18, de Gonzalo Lopez-Gallego : Parce que je ne pige toujours pas pourquoi les pierres lunaires sont vivantes (ah, pour info, c’était un spoiler !)

ATTENTES POUR 2012

1/ Millénium : Les hommes qui n’aimaient pas les femmes, de David Fincher : Parce que Fincher est un génie, parce que l’œuvre de Stieg Larsson est une gifle littéraire sans équivalent, et que les trailers sont absolument démentiels.
2/ Only god forgives, de Nicolas Winding Refn : Parce qu’un cinéaste qui fait un sans-faute absolu depuis le début de sa carrière, ça ne court pas les rues, et parce qu’il n’en finit plus de transcender les genres qu’il investit.
3/ Cosmopolis, de David Cronenberg : Parce que voir une tête d’abruti vampirique qui s’expatrie dans l’univers du cinépsy de Toronto, ça pourrait donner quelque chose de très surprenant.
4/ Haywire, de Steven Soderbergh : Parce que Soderbergh touche encore à un autre genre (l’action pure) et parce que ce thriller à la Nikita risque une fois de plus de dérouter ceux qui s’attendent à un thriller à la Nikita.
5/ The Dark Knight Rises, de Christopher Nolan : Parce que ce sera le dernier épisode, parce que ce sera encore plus sombre, parce que Catwoman, parce que Tom Hardy, et surtout, parce que Christopher Nolan.
6/ Rec 3, de Paco Plaza : Parce que même après deux films quasi parfaits dans leur style et leurs ambitions, rien à faire, j’en veux encore…
7/ La chispa de la vida, d’Alex de la Iglesia : Parce qu’Alex de la Iglesia est un cinglé total, un cinéaste génial et un fabricant de culte indétrônable.
8/ L’amour dure trois ans, de Frédéric Beigbeder : Parce qu’en attendant la suite de 99 F, Beigbeder passe derrière la caméra avec le cynisme et l’humour qu’on lui connait.
9/ Le territoire des loups, de Joe Carnahan : Parce que Joe Carnahan a intérêt à se rattraper après son adaptation crétine de L’Agence tous risques.
10/ Ghost Rider 2, de Mark Neveldine & Brian Taylor : Parce qu’avec les deux tarés d’Hyper tension derrière la caméra, ça va être autre chose que la bouse de Mark Steven Johnson.

GUSTAVE SHAÏMI

LE MEILLEUR DE 2011

1/ Le Gamin au Vélo de Jean-Pierre et Luc Dardenne : Le grand film de l’année à mes yeux peut être un choix étonnant. Il est loin d’être aussi virtuose ou percutant que bien des films de 2011. Pourtant, la subtilité de sa peinture des émotions, la luminosité et la clarté de sa mise en scène, l’humanisme des Dardenne lui donnent une splendeur tranquille qui en fait une œuvre souveraine.
2/ Shame de Steve McQueen : Un grand film, le meilleur acteur de l’année (Dujardin, bouge de là !), le meilleur second rôle féminin (Carey Mulligan peut aussi prétendre à ce titre pour Drive), et un trouble : comment un cinéaste, en seulement deux films (après Hunger en 2008), peut-il être déjà aussi grand ?
3/ The Tree of Life de Terrence Malick : Trois visionnages en salles m’ont persuadé sans problème de la grandeur du film. Son propos de fond reste critiquable – sa clarté aussi. Mais son incroyable beauté, formelle autant qu’humaine, et sa dimension de « film-monde » laissent supposer qu’on en parlera encore beaucoup dans dix ans.
4/ La Piel que habito de Pedro Almodóvar : Une énième confirmation que je suis fan d’Almodóvar (ça commencerait presque à être lassant !)
5/ Pater d’Alain Cavalier : Que le film le plus étrange, le plus follement inventif et ludique de l’année soit réalisé par un cinéaste l’année de ses 80 ans, j’adore !
6/ Melancholia de Lars Von Trier : Une Palme d’Or manquée ? On ne saura jamais. Une grande bouche pour un grand cinéaste en tout cas…
7/ Black Swan de Darren Aronofsky : Le sommet n’aura été atteint que très provisoirement pour Natalie Portman, dommage pour elle. Elle nous laisse quand même la plus belle prestation d’actrice de l’année, dans cette œuvre virtuose.
8/ True Grit de Joel et Ethan Coen : Dommage que cette œuvre n’ait pas été davantage reconnue cette année pour ce qu’elle est : un western dont on constate, arrivé à son terme, qu’il a complètement franchi la frontière de la grande fresque crépusculaire sur la fin d’un âge et d’une quête de la grâce.
9/ Une Séparation : D’année en année, on a toujours un peu plus le sentiment que les Iraniens sont tellement empêchés de s’exprimer (notamment artistiquement) que lorsqu’ils le font, c’est avec les tripes ! Ce film-ci accomplit le prodige de s’inscrire à la fois dans cette veine et de la dépasser pour toucher à une grandeur de l’écriture et de la réalisation. Longue vie au cinéma iranien !
10/ The Artist de Michel Hazanavicius (France) : LE délice de l’année, de bout en bout. On lui souhaite pleins de César et même d’Oscars !

LE PIRE DE 2011

1/ Toast de S.J. Clarkson (GB) : Je suis hors de moi quand je pense aux productions britanniques auxquelles ce téléfilm affligeant de la BBC a pris la place dans les salles françaises !
2/ Je n’ai rien oublié de Bruno Chiche (Allemagne/France) : Je fulmine de voir la remontée de Depardieu en 2010 si violemment interrompue par ce triste exemple d’un certain cinéma français paresseux…
3/ La Conquête de Xavier Durringer (France) : J’enrage que l’idée audacieuse de réaliser un film sur un président en exercice ait débouché sur un film en rien politique, juste futile et vulgaire. Pire : sur un portrait hypocrite, presque mélioratif, d’un insupportable people détaché du peuple.
4/ 127 Heures de Danny Boyle (USA) : Oui, ce même film figure dans les films préférés de Guillaume Gas. Courte Focale, un site qui ne ment pas sur sa ligne d’ouverture et de diversité !
5) Hanna de Joe Right (Allemagne/GB/USA) : Comme pour 127 Heures, une confirmation que je n’accroche pas à ces films tellement nerveux et débordants de tics qu’ils me semblent être trop dans la l’autosatisfaction puérile et pas assez dans le travail émotionnel.

ATTENTES POUR 2012

1/ Titanic 3D, de James Cameron : J’avais 6 ans, l’affiche me faisait baver quand je passait devant les cinémas. Le voir enfin sur grand écran, avec en plus une 3D à priori ultra-travaillée, c’est un rêve de cinéphile !
2/ The Dark Knight rises, de Christopher Nolan : sans commentaire.
3/ Untitled Terrence Malick Project, de Terrence Malick : Un Malick enfin productif = le rêve !
4/ Le Bleu est une Couleur chaude, d’Abdellatif Kechiche : Parce que Kechiche s’est pour moi imposé en seulement quatre films comme le meilleur réalisateur français en activité.
5/ Après Mai, d’Olivier Assayas : Parce qu’après avoir découvert l’intégralité de son oeuvre, Assayas est devenu l’un de mes cinéastes français préférés. Cette chronique d’un groupe de jeunes pris entre goût pour l’art et engagement dans les années 1970 promet un film à la fois ample et très personnel !
6/ Django unchained, de Quentin Tarantino : Parce que bien que je ne sois pas fan de Tarantino, là, quand il s’attaque au western spaghetti avec DiCaprio, Jamie Foxx, Christoph Waltz, Jeff Bridges et Joseph Gordon-Levitt, il faut quand même pas déconner !
7/ J. Edgar, de Clint Eastwood : Parce que même quand le sujet paraît casse-gueule, le traitement moralisateur, la réalisation pompeuse (c’est un peu le cas avec la bande-annonce), je fais confiance à la capacité d’Eastwood de me conquérir (il y arrive à peu près à chaque fois).
8/ Amour, de Michael Haneke : Parce que le sublime Ruban blanc a ré-attisé ma curiosité envers Haneke, et qu’il excelle dans le drame intimiste, en s’entourant toujours bien (La Pianiste, Caché) !
9/ Moonrise Kingdom, de Wes Anderson : Parce que Wes Anderson a toujours fait mieux depuis ses débuts, et qu’il met ici en scène, dans une chronique d’un voisinage américain, rien moins que Bruce Willis, Bill Murray, Frances McDormand, Tilda Swinton et Jason Sccwhartzman.
10/ Only God forgives, de Nicolas Winding Refn : Parce que le Danois retrouve Ryan Gosling et poursuit à priori dans l’appropriation du polar ou, ici, du film de boxe (l’histoire se déroule dans le milieu de la boxe thaïlandaise à Bangkok). Autrement dit dans la veine qui lui a réussi cette année avec Drive !

MATTHIEU RUARD

LE MEILLEUR DE 2011

1/ The Artist, de Michel Hazanavicius
2/ Happy Feet 2, de George Miller
3/ The tree Of Life, de Terrence Malick
4/ Les Aventures de Tintin : Le Secret De La Licorne, de Steven Spielberg
5/ Drive, de Nicolas Winding Refn
6/ Balada Triste De La Trompeta, de Alex De La Iglesia
7/ True Grit, de Joel et Ethan Coen
8/ Warrior, de Gavin O’Connor
9/ La Piel Que Habito, de Pedro Almodovar
10/ Melancholia, de Lars Von Trier

LE PIRE DE 2011

1/ Apollo 18, de Gonzalo Lopez-Gallego
2/ Shark 3D, de David R. Ellis
3/ Twilight – Chapitre 4 : Révélation 1ère Partie, de Bill Condon
4/ Conan Le Barbare, de Marcus Nispel
5/ Derrière Les Murs, de Pascal Sid et Julien Lacombe
6/ Fright Night, de Craig Gillespie
7/ The Lady, de Luc Besson
8/ Tekken, de Dwight H. Little
9/ Colombiana, de Olivier Megaton
10/ Identité secrète, de John Singleton

ATTENTES POUR 2012

1/ Bilbo Le Hobbit : Un Voyage Inattendu, de Peter Jackson : Parce qu’on a rarement l’occasion de retrouver des vieux amis avec la quasi-espérance de ne pas être déçu.
2/ Gravity, de Alfonso Cuaron : Parce que le minimalisme du pitch allié aux plans-séquences virtuoses de Cuaron promet une grande expérience.
3/ John Carter, de Andrew Stanton : Parce que le cinema va peut-être enfin ravoir un de ces fabuleux univers respirant le sens de l’aventure et dont la richesse est excitante à explorer.
4/ Cheval De Guerre, de Steven Spielberg : Parce que c’est Spielby et ça suffit comme raison.
5/ Prometheus, de Ridley Scott : Parce qu’au vu des premières images, Ridley Scott a bel et bien accompli une œuvre épique.
6/ Millenium : Les Hommes Qui N’Aimaient Pas Les Femmes, de David Fincher : Parce que Fincher a toutes les cartes en main pour me venger de l’ennui poli de The Social Network.
7/ Rebelle, de Mark Andrews et Brenda Chapman : Parce que Pixar versant dans la fantasy, c’est déjà énorme rien que de le dire.
8/ Django Unchained, de Quentin Tarantino : Parce qu’après avoir tourné autour du pot pendant toute sa carrière, Tarantino met en scène un pur western.
9/ Les Pirates ! Bons A Rien, Mauvais En Tout, de Peter Lord : Parce que Aardman + films de pirates, ça c’est de l’équation parfaite.
10/ Cloclo, de Florent Emilio Siri : Parce qu’un biopic avec d’excitantes promesses de mise en scène, c’est mine de rien pas courant (surtout en France).

GUILLAUME LASVIGNE

LE MEILLEUR DE 2011

1/ Happy Feet 2, de George Miller : Attention spoilers.
2/ Les aventures de Tintin : Le secret de la Licorne, de Steven Spielberg : Une pensée émue pour les spécialistes qualifiant le projet de confortable et pour qui le marketing massif est synonyme de carton planétaire : le film est un bide aux USA.
3/ Warrior, de Gavin O’Connor : J’ai pris mon pied, peu importe le reste.
4/ Hanna, de Joe Wright : L’un des cinéastes les plus mésestimés de ces dernières années réalise le film le plus mésestimé de l’année.
5/ Chico & Rita, de Fernando Trueba et Javier Mariscal : Et ça aurait été encore meilleur en 3D.
6/ Cars 2, de John Lasseter et Brad Lewis : Le plus mauvais Pixar.
7/ Mission : Impossible – Protocole Fantôme, de Brad Bird : Le plus mauvais Brad Bird.
8/ Triangle, de Christopher Smith : Au rythme où vont distributeurs et éditeurs, je mettrai le dernier Makoto Shinkaï dans mon top 2032.
9/ Submarine, de Richard Ayoade : Tout simplement le personnage principal le plus attachant de cette année ciné.
10/ Les chemins de la liberté, de Peter Weir : Non, le film n’est pas « profond thématiquement ». Il est juste visuellement superbe. Et alors ?

LE PIRE DE 2011

1/ Un baiser papillon, de Karine Silla : Regardez cet extrait et mettez-vous en tête que c’est ça pendant tout le film.
2/ Sex Friends, d’Ivan Reitman : J’espère que les parties de baise de Reitman sont moins chiantes et plus nombreuses que celles qu’il met en scène.
3/ Les schtroumpfs, de Raja Gosnell : – « Enlève ta main de sous mon kilt s’il te plaît. » – « Euh, c’est pas ma main. »
4/ Propriété interdite, de Hélène Angel : Une énigme.
5/ Apollo 18, de Gonzalo Lopez-Gallego : Des cailloux tueurs. Même quelques mois après, je ne comprends pas.
6/ Paranormal activity 3, de Henry Joost et Ariel Schulman : Le meilleur épisode de la saga.
7/ Very cold trip, de Dome Karukoski : Une comédie que je qualifierais volontiers de ringarde si j’avais réussi à déceler les endroits censés faire rire.
8/ Tekken, de Dwight H. Little : Et pourtant j’étais saoul.
9/ La locataire, d’Antti Jokinen : Là je n’étais pas saoul, mais j’aurais dû.
10/ Sucker punch, de Zack Snyder : Pendant que certaines se gargarisent du fait que les héros soient des héroïnes (#TrueStory) et que d’autres continuent de qualifier le vent de profondeur thématique, des milliers d’innocents découvrent ça. Pensez à eux.

ATTENTES POUR 2012

1/ Titanic 3D, de James Cameron : Le premier film que j’ai vu plus d’une fois au cinéma (en l’occurrence, 3). J’avais 11 ans et malgré le traumatisme, je ne savais alors pas à quel point les multiples visions futures du film allaient toujours plus l’élever au-dessus de n’importe quel autre. Revoir sur grand écran ce que je considère comme le plus grand film de tous les temps : j’en pleure déjà.
2/ Bilbo le hobbit : Un voyage inattendu, de Peter Jackson : Retourner en terre du milieu en 3D et en 48 fps. Entre 36000 autres éléments ne laissant pas le moindre doute sur la force de la claque à venir.
3/ The wolf children Ame and Yuki, de Mamoru Hosoda : Le prochain film de Mamoru Hosoda. Tout de suite, ça calme.
4/ Rebelle, de Mark Andrews et Brenda Chapman : Pixar + rousse = NEED.
5/ John Carter, de Andrew Staton : Andrew Stanton confie avoir appliqué les méthodes de travail de Pixar à son premier film en prises de vues réelles. Largement de quoi nourrir mes fantasmes.
6/ Gravity, d’Alfonso Cuaron : « What is incredible about what they did is, they talked to David Fincher, they talked to Jim Cameron, I connected Jim and Alfonso for that. And what Alfonso is trying, is so insane. And Jim said, well, look, you’re about five years into the future…it’s too early to try anything that crazy. And they did it !” – Guillermo Del Toro
7/ The impossible, de Juan-Antonio Bayona : J’évite de plus en plus de me renseigner sur les films à venir. Aussi, je ne connais pas grand-chose de ce projet, si ce n’est que son réalisateur fut celui du magnifique L’orphelinat il y a presque quatre ans. On appelle ça du ‘nuff said.
8/ Cloclo, de Florent Emilio Siri : Un teaser qui me colle des frissons, l’un des meilleurs réals français. Voilà.
9/ This is 40, de Judd Apatow : Knocked-up est l’une de mes comédies préférées. Alors forcément, depuis le temps que Judd Apatow annonce un spin-off sur son compte Twitter, l’attente est de plus en plus intense.
10/ American Reunion, de Jon Hurwitz et Hayden Schlossberg : Le vrai quatrième opus de la saga American Pie. Je crains évidemment de voir les personnages avec lesquels j’ai grandi devenir des vieux cons avant l’heure (comme le troisième opus le laissait déjà augurer), mais pour le coup, la nostalgie est plus forte.

(et une grosse pensée pour le Cloud Atlas des Wachowski dont on ne peut encore prévoir la date de sortie)


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