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Welcome to New York

Après le New Rose Hotel, voici le New York Sofitel. Point de fibre putassière dans cette variation autour de l’affaire DSK, mais une mise à nu des plus fascinantes pour l’hydre à deux têtes Depardieu/Ferrara.

New Rose Hotel

Abel Ferrara adapte William Gibson et élève la fibre expérimentale de son cinéma à son plus haut zénith. Un stupéfiant poème d’amour fou doublé d’une réflexion vertigineuse sur le fétichisme de l’image.

The Addiction

Abel Ferrara qui réalise un film de vampires : on peut déjà être sûr que ça ne ressemblera ni à Dracula ni à Twilight. Cela dit, ce génie taré nous avait-il déjà injecté une dose aussi élevée de nihilisme dark ?

The Blackout

Ce grand film à la fois déjanté et romantique, mal compris et mal accueilli à sa sortie, mérite plus que jamais d’être (re)considéré comme l’un des plus beaux coups d’éclat d’Abel Ferrara.